Extensions des pouvoirs du vérificateur général aux universités à charte «il est grand temps de protéger la communauté universitaire et les contribuables»

Le Conseil provincial du secteur universitaire (CPSU) appuie fermement l’idée d’étendre les pouvoirs du vérificateur général du Québec à l’ensemble des universités québécoises. Présentement, ses attributions se limitent au réseau de l’Université du Québec.

Le 9 mars, Alexandre Cloutier, porte-parole de l’opposition officielle en matière d’éducation, de recherche et de persévérance scolaire, a déposé le projet de loi no 590, Loi modifiant la Loi sur le vérificateur général. Ce projet de loi permettrait au vérificateur général de se pencher également sur les universités à charte: Université de Montréal, Université de Sherbrooke et Universités Laval, McGill, Concordia et Bishop’s.

Pour le CPSU, qui représente environ 10,000 employés syndiqués du secteur universitaire, il est grand temps d’apporter cette modification.

«Cela fait près de 20 ans que nous réclamons d’ouvrir au vérificateur général les dossiers des universités à charte. Au fil du temps, cette revendication est devenue encore plus pertinente. Les cas de rémunération excessive des hauts dirigeants se sont multipliés au cours des dernières années. Parallèlement, le réseau universitaire a subi vague après vague de compressions majeures. Il est grand temps de protéger la communauté universitaire et les contribuables contre les possibilités de gaspillage et de mauvaise gestion», selon Marie-Paule Morin, présidente du CPSU, regroupement sectoriel du Syndicat canadien de la fonction publique (SCFP).

Comptant plus de 110,000 membres au Québec, le SCFP représente environ 11,000 membres dans les universités, principalement des employés de soutien. Le SCFP est de plus présent dans les secteurs suivants: les affaires sociales, les communications, l’éducation, l’énergie, les municipalités, les sociétés d’État et organismes publics, les transports aérien et urbain, ainsi que le secteur mixte.

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Un grand honneur pour une militante SCFP

Chargée de cours à l’UQTR, Carole Neill fait maintenant partie du Cercle d’excellence du réseau de l’Université du Québec. Elle y rejoint, entre autres, Boucar Diouf et Michel Lizée. Photo Claude Rousse

Un rare honneur vient d’être rendu à une militante du SCFP. À l’occasion de la rentrée universitaire, le réseau de l’Université du Québec (UQ) a souligné la contribution exceptionnelle de quelques-uns de ses membres. La chargée de cours et présidente du Conseil provincial du secteur universitaire (CPSU), Carole Neill, a été intronisée au sein du groupe très sélect du Cercle d’excellence de l’UQ.

Depuis l’an 2000, cet hommage prestigieux reconnaît «la contribution remarquable de certains membres [du personnel du] réseau de l’Université du Québec [et] souligne l’apport de professeurs, chercheurs, gestionnaires et membres du personnel de tout le réseau».

C’est au cours d’une cérémonie officielle tenue au Musée national des beaux-arts du Québec, à Québec, que la consœur Carole Neill s’est vue décorée.

Dans une allocution prononcée à cette occasion, la rectrice de l’UQTR, Nadia Ghazzali, a rappelé les nombreuses réalisations personnelles, académiques et autres de la présidente du CPSU. «Si l’engagement fait partie intégrante de la culture universitaire, a-t-elle dit, Carole Neill en offre un exemple éloquent. Faisant preuve d’un leadership incontestable, elle est une membre rassembleuse et très active au sein de sa communauté universitaire. Parmi les multiples fonctions qu’elle occupe, mentionnons celles-ci : présidente du Syndicat des chargés de cours de l’UQTR, experte associée à la préparation de notre planification stratégique 2015-2020, membre du conseil d’administration et de son comité de gouvernance et d’éthique, en plus de siéger à plusieurs comités de sélection. En fait, peu importe le rôle qui lui incombe, cette femme de cœur s’y donne à fond; l’impact de ses nombreuses actions se fait sentir sur plusieurs plans, notamment par rapport aux relations de travail et quant à la valorisation de la mission universitaire et au rayonnement de notre Université.»

Boucar Diouf

Carole Neill rejoint ainsi un groupe restreint de personnes qui ont marqué le réseau de l’UQ et le milieu universitaire québécois. Fait intéressant à noter dans l’histoire de cette prestigieuse distinction, un seul autre chargé de cours a décroché cet honneur avant elle, soit Boucar Diouf en 2007.

Michel Lizée

Carole Neill n’est toutefois pas la première militante du SCFP à recevoir ce prix. En 2012, le confrère Michel Lizée, coordonnateur des services aux collectivités de l’UQAM et militant de longue date au SEUQAM (SCFP 1294), recevait le même honneur en 2012.

Soulignons que l’implication syndicale de Carole Neill au sein de son syndicat local et du SCFP remonte au milieu des années 1980.

Dans une entrevue vidéo accordée en 2012, elle raconte une partie de son parcours et de ce qui l’a animée tout au long de ces années.

Le CPSU salue la création du ministère de l’Enseignement supérieur, de la Recherche, de la Science et de la Technologie

Le Conseil provincial du secteur universitaire (CPSU) du SCFP se réjouit de la création officielle, le 5 décembre, du ministère de l’Enseignement supérieur, de la Recherche, de la Science et de la Technologie. Pour ce regroupement de quelque 10,000 employés des universités du Québec, il s’agit d’une étape clé de la concrétisation des réformes entreprises dans la foulée du Sommet sur l’enseignement supérieur.

«Le processus de constitution juridique du ministère a été laborieux, mais nous nous réjouissons du dénouement de cet automne. Le gouvernement et l’ensemble des parlementaires ont accordé au dossier l’attention qu’il mérite. C’est un excellent signal pour l’aboutissement des travaux découlant du Sommet sur l’enseignement supérieur», a indiqué Carole Neill, présidente du CPSU-SCFP.

Pour la suite de ces travaux, le CPSU va s’intéresser particulièrement à la création et à la composition du Conseil national des universités ainsi qu’à l’adoption de la loi-cadre.

«Le Sommet a permis de reconnaître l’apport du personnel de soutien à la qualité de l’enseignement. Nous comptons maintenant officialiser cette reconnaissance. Il est temps que les employés de soutien puissent siéger aux instances décisionnelles des universités, comme membres à part entière et non comme simples observateurs», a conclu Mme Neill.

Comptant plus de 111,000 membres au Québec, le SCFP représente quelque 10,000 membres dans les universités, principalement des employés de soutien

Le CPSU déplore que des jeux partisans à l’Assemblée nationale puissent menacer les visées du Sommet sur l’enseignement supérieur

Le Conseil provincial du secteur universitaire (CPSU) du SCFP s’inquiète que des jeux partisans à l’Assemblée nationale pourraient menacer les réformes entreprises dans la foulée du Sommet sur l’enseignement supérieur.

«Nous sommes à un moment charnière où nous repensons notre réseau postsecondaire. Dans l’intérêt de la société, il ne faut pas faire de la petite politique avec la reconnaissance légale d’un ministère, puisqu’à notre sens, cet organisme existe déjà. Rappelons d’ailleurs que tous les partis présents à l’Assemblée nationale ont participé activement au Sommet», a indiqué Roxane L’Abbée, porte-parole du CPSU-SCFP.

La commission parlementaire chargée de l’étude du projet de loi no 45 visant la constitution juridique du ministère tourne au ralentit. Depuis le 15 mai, un peu plus de la moitié seulement des articles ont été adoptés, ce qui retarde l’adoption de la loi qui crée officiellement le ministère de l’Enseignement supérieur, de la Recherche, de la Science et de la Technologie.

«Nous aimerions continuer les travaux qui découlent du Sommet, notamment en ce qui a trait à la création et à la composition du Conseil national des universités. Tant que le ministère n’est pas juridiquement reconnu, nous ne pouvons pas aller de l’avant. Le Sommet a permis de reconnaitre l’apport du personnel de soutien à la qualité de l’enseignement. Le CPSU souhaite maintenant que les employés de soutien puissent siéger aux instances décisionnelles des universités, comme membres à part entière et non comme simples observateurs», de conclure la porte-parole.

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